« Louis XIV, chef de guerre : La triple alliance », Orkester Nord, Paris

Paris, Cathédrale Saint-Louis des Invalides : alto soliste

« La mezzo-soprano Anaïs Yvoz est la bonne surprise de la soirée, puisqu’elle rappelle avec simplicité les fondamentaux du chant (soutien, souffle, projection, texte) et donne ainsi une lumineuse simplicité à chacune de ses interventions »

Bachtrack, Philippe Ramin

(…) « La mezzo-soprano française Anaïs Yvoz (…) ne manque pas de proposer un timbre chaleureux dans les médiums et très velouté dans les graves, ainsi que des lignes soignées »

Olyrix, Emmanuel Deroeux

« Talestri, reine des amazones », Maria Antonia de Walpurgis

C’est sans contexte Anaïs Yvoz qui emporte tous les suffrages par la qualité de son émission et le velouté de son timbre en Antiope : soeur compatissante de Talestri, amoureuse du meilleur ami d’Oronte.

Le Figaro, T. Hillériteau

(..) La distribution (est) dominée par l’excellente Anaïs Yvoz, mezzo très investie qui s’impose par sa virtuosité et la richesse de son timbre dans le rôle d’Antiope, sœur de Talestri.

Concert classic, L. Bury
https://www.concertclassic.com/article/talestri-reine-des-amazones-de-marie-antoinette-de-baviere-en-premiere-francaise-par-la

Anaïs Yvoz, mezzo-soprano (incarnant sa sœur Antiope) offre la voix la plus ample du plateau ; cette partition lui demande des airs et l’une de ces performances impossibles mais fréquentes dans le répertoire baroque. Elle concentre de fait ses moyens dans le médium, en esquissant de loin les graves profonds et les aigus lyriques qu’elle est censée enchaîner en quelques notes.

Olyrix
https://www.olyrix.com/articles/production/5115/talestri-reine-des-amazones-opera-princesse-maria-antonia-walpurgis-dresde-1763-28-septembre-2021-article-critique-collet-comte-concert-de-lhostel-dieu-arcal-bry-khassenova-yvoz-gaussin-cabral-choeur-amazones-westphal-heulle-macbeth-locher-badier-debois

C’est peut-être Anaïs Yvoz (…) qui dispose de l’émission vocale la plus franche et la plus ferme. Les belles couleurs de son mezzo lui permettent de dessiner une Antiope aussi convaincante dans la colère que dans l’amour naissant.

Première loge Opéra, S. Lelièvre
https://www.premiereloge-opera.com/article/compte-rendu/production/2021/09/30/talestri-de-maria-antonia-walpurgis-quand-lopera-preconise-lapaisement-entre-les-femmes-et-les-hommes-berenice-collet-le-perreux-arcal/

« Un Violon sur le Toit », Stein / Bock / Harnick / Robbins

« Neïma Naouri et Anaïs Yvoz (Tzeitel et Chava) s’investissent pleinement par leur jeu et par le naturel de leur prosodie. Les voix sont saines et bien placées. (…)La seconde compose au personnage de jeune intellectuelle férue de lecture un portrait tout en charme et en délicatesse grâce à sa voix fruitée, projetée dans une couleur radieuse. »

Pierre Degott, Olyrix

Anaïs Yvoz (Chava) a déjà fait ses preuves à Strasbourg notamment dans le rôle de Zerline qu’elle a tenu brillamment. Dans son plus modeste duo avec Fyedka, elle a fait preuve de ses qualités vocales habituelles et on lui souhaite un r’ole à la mesure de son grand talent »

Odb opéra

L’émouvante Chava d’Anaïs Yvoz.

M. Thomé, Resmusica

Une très touchante Chava.

C. Jordy, Forum Opéra

Don Giovanni, Mozart

« La révélation est la Zerlina d’Anaïs Yvoz issue de l’Atelier Studio de l’ONR. Timbre onctueux, vocalises fluides, bonne comédienne, ses prochains engagements sont à surveiller. » (Concert Classic, V. Borel)


« Chez les femmes, deux joyaux retiennent particulièrement l’attention. (…) Jeanine De Bique est une splendide et altière Donna Anna. Piquante et fruitée, fraîchement émoulue de l’Opéra Studio de l’Opéra national du Rhin, Anaïs Yvoz est tout aussi séduisante et irrésistible en Zerlina. » (Resmusica, M. Thomé)


« Parmi les voix féminines, c’est Anaïs Yvoz, une cantatrice issue de l’Opéra Studio de l’OnR, qui a le mieux tiré son épingle du jeu grâce à sa version vocale vraiment mozartienne de Zerlina. La cantatrice a transmis à son personnage la candeur, la fausse (?) simplicité de paysanne que lui accordent et le texte et la musique, malgré le fait qu’elle ait été habillée en bourgeoise, tout comme Donna Anna et Donna Elvira. » (Webthéâtre, J. Estapà i Arguemì)


« La Zerline d’Anaïs Yvoz, fraîche, délurée, sensuelle est ravissante et mérite mieux qu’un numéro du catalogue. » (Forum Opéra, Y. Beuvard)


« Anaïs Yvoz, de l’Opéra Studio de l’OnR, campe une Zerlina battante au sourire ravageur. Sa voix, au timbre soyeux et coloré, est intensément projetée et vibrée. » (Olyrix, D. Dutilleul)


« Il est aussi question de performance pour les « acteurs chanteurs » tant Marie-Eve Signeyrole demande d’investissement aux différents protagonistes, parmi lesquels se distingue un trio féminin éblouissant. (…) Mention spéciale à Anaïs Yvoz : la pensionnaire de l’Opéra Studio incarne une Zerlina charmante et mutine, épousant parfaitement son personnage. » (L’Alsace, H. Lévy)


« La Zerline de Anaïs Yvoz, mutine, gourmande, effrontée, est délicieuse. L’émission est fraîche, toujours expressive, conduite avec de beaux phrasés. » (Classiquenews, A. Dacheux)


« Avec un duetto mythique, deux airs, et une participation dans divers ensembles, le rôle de Zerlina est très important et fut assuré avec beaucoup de charme et une présence scénique indéniable par Anaïs Yvoz de l’Opéra Studio, une jeune artiste dont le potentiel révélé déjà dans Mouton est considérable. Son interprétation du célèbre duetto La ci darem la mano mit en évidence une voix superbement projetée au timbre agréablement acidulé. » (Odb-opéra, P. Benveniste)

Barkouf, Offenbach

« Enfin, Périzade, décrite comme laide et colérique par le livret, prend les traits fins et le sourire gracile (surmonté d’une moustache) d’Anaïs Yvoz. Son timbre sucré largement projeté tranche également avec la description du personnage, qui s’en trouve attachant. » D. Dutilleul, Olyrix.


« Timbre clair, diction parfaite et bonne comédienne, la soprano Anaïs Yvoz se sort très bien du rôle de l’impossible Périzade, femme à moustache et sale gamine. » P. Lieberman, Bachtrack.


« Anaïs Yvoz apporte à la disgracieuse Périzade (en réalité seulement atteinte d’hypertrichose faciale) sa fraîcheur, son caractère bien trempé et son exquise vocalité. » M. Thomé, ResMusica.


« Anaïs Yvoz fait mouche dans un personnage inconscient de sa monstruosité qu’elle humanise gaiement d’une certaine grâce et d’une voix de miel. » J. Pesqué, Odb opéra


« La jeune Anaïs Yvoz (…) ravit par sa voix fraîche et fruitée, et sa silhouette gracile tranche avec la femme « laide » décrite par le livret. » E. Andrieu, Opera Online.


« La Périzade fraîche et attachante d’Anaïs Yvoz », M-A. Roux, Le Monde.

« Singing Garden », extraits de « Rhondda rips it up », Langer

« Du moins apprécie-t-on la nuance et l’agilité d’Anaïs Yvoz (Helen), artiste émouvante de l’Opéra Studio. » L. Bergnach, Anaclase.

« Mouton », Kassies

« Anaïs Yvoz, membre cette année de l’Opéra Studio de l’Opéra du Rhin, lui donne la réplique avec brio. La voix est charnue, remarquablement homogène dans l’ensemble des registres et bien timbrée dans les graves. » T. Bracq, Forum Opéra


« Anaïs Yvoz qui avait fait des débuts remarqués à l’opéra du Rhin dans le rôle de Barberina (Le Nozze di Figaro), confirma ici ses remarquables qualités vocales, notamment dans le superbe lamento de Monteverdi : Si dolce è’l tormento. D’une part son timbre de voix est très agréable, d’autre part sa technique est irréprochable comme le montrent les redoutables vocalises de No, di voi non vo’ fidarmi… Son tempérament comique et son engagement se manifestèrent pleinement dans les nombreux rôles qu’elle eut à endosser. » piero1809.blogspot.com


 » … Anaïs Yvoz mit ebenso leuchtendem wie zartem lyrischen Mezzo-sopran gestalten mit großer vokaler Intensität. » A. Dick, Badische Zeitung

« Le Nozze di Figaro », Mozart

« Anaïs Yvoz est une Barbarina rafraîchissante, et pleine de promesses. » S. Lay-Canessa, Bachtrack


« La cautivadora Barbarina de Anaïs Yvoz ». F. J. CABRERA, Operaactual.


« Poétique Barberine d’Anaïs Yvoz », M. Le Naour, Concert Classic